DATADOCK certifie NEVA pour son processus de formation

En satisfaisant au 21 critères définis par les 20 OPCA réunis dans le cadre de DATADOCK, NEVA vient d’être certifiée et enregistrée.

Les prestations de formation autour de l’activité logiciel de NEVA est ainsi reconnue par les principales OPCA ayant participé à la création de DATADOCK.

Qu’est-ce que DATADOCK ?

Découvrez le concept en vidéo.

 

LE DATADOCK, UN OUTIL SIMPLE AU SERVICE DES ORGANISMES DE FORMATION

nuage datadock

Les financeurs associés à  la mise en place du Datadock ont mutualisé toute la partie technique préalable au référencement pour simplifier la tâche des organismes de formation.

Le Datadock, c’est le moyen le plus simple pour les organismes de formation de se faire connaître et référencer par les financeurs de la FPC. Ils rassembleront en une seule fois, en un seul lieu, un ensemble d’informations que se partageront les membres du Datadock, 19 financeurs à  ce jour et bientôt près de 30.

La présentation de l’outil faite le 28 novembre aux organismes de formation pilotes (AFPA, AFTRAL, AFORP, CFPB, PASSAGES) a levé les quelques inquiétudes sur le maniement de l’outil et sur sa complexité.

Pour faciliter la tâche aux prestataires, les financeurs partageront tous leurs informations ayant trait à l’enregistrement dans le Data Dock et au référencement, et concentreront toutes les demandes liées à l’utilisation de l’outil sur une hotline et le site internet dédié. Bien sûr, chaque financeur reste responsable de sa propre politique qualité, et met en œuvre sa politique de référencement. Chaque financeur a donc toute latitude pour ajouter ses propres indicateurs aux 21 indicateurs existants et pour définir le niveau de qualité qu’il attend des OF avec qui il travaille, en lien avec les spécificités de ses secteurs d’intervention.

En résumé, le Datadock constitue une offre de services aux organismes de formation et aux financeurs, sans lequel tout aurait été encore plus compliqué !

La nouvelle version d’Oxiva est disponible

La version 1.2 d’Oxiva est disponible.

Au menu des nouveautés, vous trouverez :

  • un nouvel outil de recherche multicritères,
  • un assistant de création de formulaires,
  • la version enrichie d’Oximail,
  • la possibilité de connecter votre session Oxiva sur le standard téléphonique et de gérer directement vos appels téléphoniques,
  • vos renvois téléphoniques,
  • et bien d’autres améliorations.

Pour tester la nouvelle version, rendez-vous sur la page officielle de l’application Oxiva.online

 

La satisfaction client au coeur de la stratégie

Placer la satisfaction client au cœur de sa stratégie est un enjeu majeur depuis plusieurs années. L’explosion du digital offre aux consommateurs un vaste choix de produits et de services, qu’ils peuvent facilement et rapidement se procurer. La concurrence se fait ainsi de plus en plus forte pour les entreprises, favorisant pour les consommateurs la comparaison et leur volatilité en passant d’une marque à l’autre s’ils ne sont pas satisfaits. Pour pouvoir se différencier , les entreprises doivent maintenant miser sur l’expérience client et notamment leur satisfaction. Les consommateurs étant devenus de plus en plus exigeants au fil du temps, ils demandent une expérience client optimale voir inédite.

  • 64% des consommateurs s’attendent à recevoir un service client en temps réel quel que soit le moyen utilisé.
  • 78% considèrent que le service client d’une entreprise est important lorsqu’ils prennent leur décision d’achat.

 

1. Les impacts des insatisfactions et satisfactions

Il faut savoir qu’un client insatisfait aura tendance à partager sa mauvaise expérience rapidement autour de lui ( 1 client mécontent en parlera à 10 personnes). Ce comportement entachera directement l’image de votre entreprise.

Financièrement, le mécontentement de vos clients a un impact important. Cela engendrera des pertes financières par l’abandon de contrats prévus dans le futur, le coût d’acquisition de nouveaux clients et à cela se greffe les dépenses réalisées pour le traitement du problème.

Le client satisfait aura tendance à dépenser plus et il saura attirer de nouveaux clients pour votre entreprise, devenant un ambassadeur. Le client content est donc la meilleure publicité que vous puissiez rêver et sans frais. Il y a donc de réels avantages à savoir écouter ses consommateurs et de leur laisser la parole. Mais, il faut savoir répondre de manière efficace à leurs mécontentements ou suggestions, et se servir de ces plaintes pour améliorer à la fois les services et/ou produits ainsi que votre service client. Si vous collectez leurs avis sans les prendre en considération alors c’est de l’argent gaspillé et du temps de perdu.

 

2. Les questionnaires de satisfaction

Différentes techniques sont utilisées pour obtenir les avis des consommateurs. L’une des plus répandue et toujours autant utilisée est le questionnaire. Administré en direct ou par email, leurs objectifs sont de mieux comprendre les besoins du clients et leurs avis afin de mieux anticiper des sujets sur lesquels il est sensible ou de s’améliorer.

Pour que votre enquête soit une réussite, il faut qu’elle soit structurée afin que les questions posées soient pertinentes lors du dépouillement des réponses et de leur analyse.

  1. Définissez les objectifs de votre enquête :

Pourquoi réalisez-vous une  enquête ? S’agit-il d’un service en particulier ou de la globalité de votre entreprise ?

2.  Assurez-vous de la faisabilité de l’enquête :

Avez-vous toutes les données requises pour l’administration de celle-ci ? (adresses emails, n° de téléphone…)

3. Listez les différentes questions et formulez-les :

Alternez les types de questions : ouvertes, fermées. Formulez vos questions de façon simple pour qu’elles soient comprises par tous.

4. Faites tester le questionnaire :

Les questions sont-elles claires ? N’est-il pas trop long ?

5. Analysez l’enquête

6. Mettez en forme et présentez le résultat :

Il faut que la mise en forme de l’analyse soit facile à comprendre pour l’auditoire, alors soyez synthétique et optez pour du visuel lors de la présentation.

2.1 Les canaux de diffusion

Voilà, votre questionnaire est prêt, mais avez-vous réfléchi au canal de diffusion à utiliser ? Pour définir votre canal de diffusion il faut tout d’abord s’intéresser à la cible de votre enquête, ensuite la taille et la durée de votre enquête, enfin les moyens mis à votre disposition pour la réaliser.

  • L’email :

Il est le plus utilisé car il permet de toucher plus de personnes. L’email est également facilement personnalisable. Mais attention à la délivrabilité de celui-ci, les consommateurs reçoivent énormément de mails et ils peuvent être rapidement supprimés sans être lus !

  • Le SMS :

Très efficace car un taux d’équipement très important. Mais il peut être considéré par les mobinautes comme étant intrusif. Tout comme l’email, il peut facilement être supprimé et  non lu.

  • Sur votre site internet :

Les clients et prospects qui visitent votre site seront directement touchés. En fonction de leur parcours d’achat, une enquête ciblée leur est donc proposée. C’est un bon moyen de récolter les coordonnées de ces consommateurs.

  • QR Code :

Permet de rediriger sur le site et ainsi de permettre aux consommateurs de laisser leurs avis. Le QR Code est une tendance qui s’essouffle.

  • Les plateformes d’évaluation en ligne :

Permettent de fournir aux client un espace fiable pour donner leurs avis.

  • Les bornes :

Utilisables dans les magasins physiques, ces bornes tactiles permettent de recueillir les appréciations à chaud.

2.2 Inciter les clients à répondre

Toute l’importance d’un questionnaire repose dans la qualité des réponses et donc des données collectées. Comme pour toutes les campagnes, l’attractivité de celles-ci est faite par le bon message véhiculé mais surtout à la bonne personne, nous en revenons à la personnalisation.

Ce questionnaire ultra-personnalisable s’appelle : questionnaire intelligent. L’objectif de cette méthode est de prendre en considération les données déjà existantes du consommateur, et les données comportementales en suivant son parcours de navigation., les pages visitées…Cette collecte va permettre de poser LA bonne question à LA bonne personne.

Le questionnaire intelligent repose sur 3 axes :

  • Avant le questionnaire :

Question posée en fonction de critères  définis et donc de l’action réalisée par le client.

  • Pendant le questionnaire :

En fonction des réponses, le questionnaire s’adapte au profil de l’utilisateur.

  • Post-questionnaire :

Mise en place d’actions automatiques suite aux réponses.

Ainsi la personnalisation du questionnaire à deux objectifs : inciter à répondre afin d’obtenir des données fiables, il participe aussi à l’expérience client. Un questionnaire intelligent favorise votre différenciation face à vos concurrents.

Lors d’une enquête mail, en plus des points précédents, il y a plusieurs éléments à soigner pour favoriser le taux de réponse :

  • L’expéditeur du mail :

Un d’expéditeur que votre client connaît pour qu’il soit rassuré pour l’ouvrir.

  • L’objet du mail :

Pour ne pas atterrir directement dans les SPAM, rédigez un objet plutôt valorisant, il doit donner envie à l’internaute de découvrir le contenu de l’email.

  • Le texte du message :

Il doit être court, clair et attractif.

  • Le look :

En cohérence avec votre entreprise et attractif. N’en faites pas trop, il doit être épuré pour une bonne lecture.

Enfin, la durée du questionnaire ne doit pas dépasser les 5 minutes pour l’email et dites clairement la finalité de l’utilisation des données.

 

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3. Les médias sociaux

Nous avons pu voir les méthodes les plus classiques pour obtenir les avis des consommateurs. Une nouvelle version du service client a émergé en même temps que le digital et les médias sociaux : le service client en ligne. Le client donne maintenant son avis sur les réseaux sociaux des entreprises. Cette stratégie doit faire l’objet d’une attention toute particulière, car sur internet et notamment sur les réseaux sociaux tout se propage très vite devenant pour l’entreprise son pire cauchemar.

3.1 Les enjeux pour l’entreprise

Pour les entreprises qui se servent de ce support pour gérer la satisfaction de leurs clients, cela s’avère être une importante économie. Egalement, l’utilisation du service client en ligne permet aux conseillers de traiter plusieurs problématiques à la fois. En effet, l’étude de Gartner montre que les agents peuvent gérer entre 4 et 8 fois plus de problèmes par heure qu’au téléphone. Cela montre l’efficacité des médias sociaux en termes d’assistance.

Mais attention, ce n’est pas parce que vous créez un compte Facebook ou Twitter que vous pouvez prétendre à la réalisation d’un bon service client en ligne. Cette stratégie est beaucoup plus complexe qu’on ne le croit. Il faut avoir conscience que toutes les plaintes ne seront pas exprimées sur vos réseaux, il faut donc adopter une veille sur internet afin d’évaluer votre e-réputation en vérifiant les blogs, les plateformes de chat…pour détecter des avis qui seraient néfastes pour votre image.

Se lancer sur les réseaux sociaux demandera la création d’une ligne éditoriale pour structurer le travail des conseillers. Pour cela définissez le délai maximal de réponse, catégorisez l’importance des plaintes, le ton que vous utiliserez pour répondre.

3.2 Comment fournir un service client social média optimal ?

1. Il faut répondre de préférence rapidement

Cela peut paraître évident, mais c’est le point le plus important à retenir pour avoir une service client en ligne réussi. Mettez-vous à la place de vos clients, vous lui donnez l’opportunité de s’exprimer, le mettant ainsi en avant mais personne ne lui répond ou alors trop tard . Frustrant, et soyez certain que vous en entendrez parler rapidement.

2. Formez vos conseillers

Les réponses devant être rapides et personnalisées, la formation de vos collaborateurs favorisera leur autonomie et la gestion de n’importe quel type de situation.

3. Humanisez-vous

Même si la relation client se fait en ligne, n’oubliez pas le côté humain. Terminez vos réponses par les initiales ou le prénom du salarié qui a traité la demande.

Ainsi, quel que soit votre secteur d’activité il est impératif de réfléchir aux avantages et à l’impact du service client en ligne.

4. Le CRM pour des clients 100% satisfaits

Partie intégrante d’une solution de CRM, le support d’assistance client intervient fortement sur la satisfaction client.

Le but du CRM est de simplifier cette relation pour la rendre plus transparente :

  • Mieux répondre à leurs demandes et adapter les produits et services
  • Mettre en place une vision à 360° du client afin de nouer une relation durable et anticiper les besoins
  • Gérer les relations qui deviennent de plus en plus complexes
  • Apporter de la valeur à vos communications en effectuant un meilleur ciblage et donc un message plus percutant
  • Obtenir un historique complet sur les différents échanges réalisés avec vos clients

Cet outil vous permettra d’entretenir des relations durables avec vos clients grâce à un suivi client optimal et à l’historique qui vous permettront de faciliter le traitement de certains problèmes ainsi que de les accélérer. Une meilleure connaissance de vos clients reste la clé du succès de votre service client et plus particulièrement de votre entreprise. Personnalisez vos échanges et proposez la bonne offre au bon moment sont les bases d’une relation client réussie.

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Source : Mesurer la satisfaction client : enjeux et bonnes pratiques

Le CRM pour digitaliser votre force de vente.

Le numérique modifie le comportement d’achat des clients, le parcours d’achat, mais également la fonction commerciale est remise en question par l’augmentation de sites de e-commerce. Mais comment pouvons-nous faire face à cette concurrence ?

La force commerciale terrain

Internet a rendu le client plus informé, il est devenu “expert”. Egalement, le digital a favorisé la notion d’immédiateté poussant le client à tout obtenir rapidement. Ce constat rend le travail des commerciaux beaucoup plus complexe qu’auparavant. Face à ces comportements, le commercial doit être capable de donner dans l’instant, la bonne information, le bon document, connaître parfaitement son client et avoir une maîtrise parfaite de ses produits.

Pour faciliter son quotidien, l’outil CRM devient son principal allié par la centralisation de nombreuses informations. Cet outil favorisera la création d’une relation personnalisée avec vos clients en ayant l’ensemble des documents le concernant, vous permettant ainsi, d’être capable de répondre à ses besoins. Cette relation privilégiée vous apportera de la valeur ajoutée et vous démarquera de vos concurrents.

Piloter et suivre son activité et son équipe

Face à la problématique de gérer des commerciaux nomades et du suivi de l’activité, il est devenu primordial de s’équiper d’outils efficaces et simples d’utilisation.

Opter pour un support de Business Intelligence et/ou d’un CRM vous permettra d’obtenir tous les indicateurs afin de suivre de manière optimale votre activité, la performance de votre force de vente et d’améliorer votre stratégie commerciale.

Gagnez en productivité en raccourcissant le cycle de vente

L’utilisation d’un CRM permet d’avoir tous les documents utiles à la vente. L’accès rapide à ces documents accélèrera la prise de décision de votre client, lui réduisant ainsi son temps de réflexion et il ne sera pas tenté de consulter vos concurrents.

Le processus de vente est simplifié grâce à l’utilisation des supports digitaux. Le commercial peut gérer l’intégralité de la vente, de la présentation du produit à la validation de la commande. Et cela, sans avoir à tout ressaisir après le rendez-vous, tout est réalisé en direct.

Le CRM, votre arme de performance

Le CRM est l’arme incontournable pour digitalisation. Ses différentes fonctionnalités vous permettront de faciliter votre travail au quotidien. Il vous apportera :

  • Gain de temps
  • Gain d’efficacité et de productivité
  • Favorisera le suivi de votre activité
  • Améliorera le suivi des performances commerciales
  • Améliorera votre stratégie marketing et commerciale

 

La digitalisation ne peut être ignorée, elle est une réelle opportunité pour votre entreprise et vos collaborateurs. Il est essentiel avant de se lancer de définir clairement les objectifs attendus par ces outils numériques, de s’assurer de la simplicité d’utilisation et de mise en place, mais surtout, correspond-il à votre activité et à son fonctionnement ?

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Les différentes méthodes de financement de votre entreprise.

Que ce soit pour la création d’un projet ou simplement pour développer votre activité, il existe plusieurs méthodes de financement pour votre entreprise. Des dispositifs modernes, alternatifs ou traditionnels vous sont proposés afin de vous aider dans votre projet.

Mais il n’est pas évident de s’y retrouver dans toutes ces solutions, alors prenez quelques minutes, on vous explique tout !

 

1. L’apport personnel ou l’épargne personnelle

Pour démarrer dans son projet, c’est la solution la plus évidente. Les porteurs de projet doivent convaincre d’autres investisseurs en prouvant leur engagement. L’apport personnel permet donc de rendre le futur projet plus crédible. De plus, si vous envisagez de faire un emprunt bancaire, l’apport personnel est incontournable. Il faut donc s’apprêter à casser sa tirelire.

 

2. Le Love Money

Vos proches vous soutiennent dans votre projet et contribuent au financement de celui-ci. Cette méthode dépanne bien, mais attention, mêler relation privée et argent ne fait pas toujours bon ménage et peut très vite créer des tensions avec les donateurs. Il faudra être très clair dès le départ. Il sera important d’expliquer dans le détail les tenants et aboutissants de cette requête avant d’attirer vos amis ou familles dans cette aventure.

 

3. Prêt d’honneur et subventions

Le prêt d’honneur est accordé à une personne et non pas à un projet, ainsi vous n’avez aucune garantie ni de caution à présenter. Vous vous engagez sur l’honneur à rembourser votre somme empruntée. Son montant varie en fonction de la nature de votre projet, il permet de financer l’investissement de départ ou le besoin en fond de roulement.

Les subventions contrairement au prêt d’honneur n’ont pas besoin d’être remboursées. Elles sont un vrai cadeau de l’Etat. Il existe :

  • L’ACCRE pour les demandeurs d’emploi
  • Les aides de BPI France
  • Les subventions accordées par l’AGEFIPH pour les personnes en situation de handicap

 

4. Les Business Angel

Un Business Angel est une personne qui décide d’investir une partie de son patrimoine financier dans les sociétés innovantes et à fort potentielles. Egalement, selon leur profil, ils peuvent aussi apporter leurs connaissances et leur expertise, partager leur carnet d’adresses…

Les start-up restent les premières à en bénéficier car les Business Angels sont attirés par ses jeunes. Mais pour ce faire, le projet doit être solide et ainsi déclencher un coup de cœur.

 

5. Le capital risque

Le capital risque est une solution pour les entreprises qui souhaitent développer un nouveau produit, service. Cette méthode consiste à ouvrir  le capital des investisseurs. Cependant, l’investisseur ne reste pas associé ou actionnaire, ainsi le porteur de projet conserve sa place de décideur.

 

6. Le prêt bancaire

Il reste le mode de financement le plus utilisé mais aussi le plus critiqué. Si vous n’avez pas d’apport, aucune banque ne voudra financer votre entreprise. N’hésitez pas à aller voir plusieurs établissements afin de comparer.

 

7. Le leasing ou le crédit-bail

Utilisé pour financer l’achat de matériel, de biens immobiliers. Le leasing est un contrat de location ainsi, il n’apparaîtra pas dans l’actif du bilan. Il existe 2 options à la fin de ce type de contrat :

  • Avec option d’achat : versement d’une somme pour acquérir le bien définitivement.
  • Sans option d’achat : le bien est rendu.

 

8. L’affacturage

Cette pratique permet de transférer ses créances commerciales à un organisme financier. Il est considéré comme une méthode de gestion, il ne devient un financement d’entreprise lorsque l’affactureur avance le montant des créances.

 

9. Le crowdfunding

Ce mode de financement est très tendance en ce moment surtout pour les start-up. Cependant, le principe reste tout de même de mettre en avant son projet, d’attirer l’attention et de convaincre pour réussir à réaliser une levée de fonds sur les plateformes. Il existe plusieurs types de financement, l’Equity, le don et le Crowdlending.

 

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Les PME et le Cloud Computing

Il est évident que le Cloud Computing s’est imposé un peu partout. Cependant, malgré une nette progression, certaines PME françaises restent frileuses à l’idée de mettre en place cette solution. Pourtant, elles ont tout  à y gagner !

De nombreux avantages et pas des moindres…

Quoi que l’on puisse en penser, il faut bien se rendre à l’évidence que le Cloud Computing possède bien des avantages pour les petites entreprises. Mais avant de passer en revue leurs bénéfices, saviez-vous que vous utilisez tous les jours du Cloud ? Du courrier électronique, en passant par les réseaux sociaux ou votre site internet, vous profitez déjà d’une solution Cloud, et vous pouvez constater leurs bienfaits sur votre activité…

La mise en place de cette solution dans votre PME n’est pas plus onéreuse que d’investir dans du matériel ou du logiciel, bien au contraire. Le Cloud a pour réputation la diminution des coûts. Durant la vie de entreprise, des besoins en infrastructure peuvent s’avérer coûteux, le service Cloud vous permet d’ajuster vos besoins en ne payant uniquement ce que vous consommez, et aucun frais supplémentaire sur la maintenance ou le renouvellement d’équipement.

La centralisation des ressources et leur haute disponibilité permettent un gain de productivité et diminuent les processus. L’accès rapide et par tous aux données stockées dans le nuage facilite le travail de vos collaborateurs. 59 % des PME utilisatrices du Cloud constatent un gain de productivité majeur.

La sécurisation des données est un point important à ne pas négliger, car 81 % des entreprises déplorent un piratage de leurs données dû à des utilisateurs ou intrus. Le Cloud permet une meilleure sécurité de vos données en possédant de biens meilleurs dispositifs et services de sécurité grâce aux mises à jour régulières et des audits.

Différentes offres pour satisfaire vos  besoins

Il existe trois modèles de Cloud Computing :

  • IaaS (Infrastructure as a Service) : Dans ce modèle, seul le matériel qui constitue l’infrastructure est hébergé chez un prestataire externe. L’entreprise peut ainsi augmenter ou diminuer ses ressources en fonction de ses besoins.
  • Paas (Platform as a Service) : C’est le modèle supérieur à l’Iaas, en permettant aux entreprises de déployer leur développement. Cette solution fournit des langages de programmation, des bases de données et différents services pour faire fonctionner l’application. Le déploiement est entièrement automatisé.
  • SaaS (Software as a Service) : Propose des applications prêtes à l’emploi qui nécessitent aucune maintenance. Des mises à jour sont régulièrement effectuées par l’éditeur.

 

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L’économie collaborative, quésako ?

Personne n’y échappe, depuis quelques années tout le monde à ces mots à la bouche : ECONOMIE COLLABORATIVE. Elle a littéralement trouvé une place importante en France et ne cesse d’augmenter. Elle pèserait déjà plusieurs milliards de dollars. Celle-ci nous permet de consommer différemment, modifier notre comportement d’achat et nos rapports avec les biens et services. Mais sur quels secteurs est-elle présente ? Quels sont les impacts sur la société et les entreprises ? On vous éclaircit tout cela !

Qu’est-ce que l’économie collaborative ?

Pour faire simple, elle se base sur l’échange et le partage. Elle s’effectue principalement en CtoC (client à client, ou particulier à particulier). Ils peuvent s’échanger des biens, des connaissances, des services…et d’autres encore, en fonction de leur imagination. Pour réaliser cette révolution, ils utilisent des plateformes numériques de mise en relation (Airbnb, Blablacar, Uber…). L’économie collaborative permet donc aux consommateurs de disposer de son besoin à moindre coût et de manière beaucoup plus conviviale.

L’économie collaborative n’a pas de limite, elle se développe dans tous les secteurs d’activité. Il est évident que l’évolution technologique dans laquelle nous sommes émergés à un impact direct à son essor. Elle est donc devenue pour les consommateurs, au même titre que les nouvelles technologies, banalisée. En effet, celle-ci a pu voir le jour suite à la crise économique, et tirer parti de celle-ci. Elle permet aux consommateurs de gagner des revenus complémentaires grâce à leurs biens qui dorment chez eux, et qui sont de l’argent qui stagne.

L’économie collaborative vient donc agiter nos modèles économiques déjà existants, que ce soit pour les consommateurs que pour les entreprises.

Consommateurs et entreprises, tous impactés

Pour le consommateur tout semble bénéfique pour lui, et il n’est pas prêt de vouloir arrêter d’utiliser cette nouvelle économie. Elle répond à la tendance actuelle qui est le retour à la proximité. Mais également à la volonté de vouloir dépoussiérer ces objets dont on se sert très peu, de pouvoir les partager ou de les utiliser sans avoir besoin de les posséder. Le rapport avec le financier est présent aussi, arrondir ses fins de mois par la location d’un bien ou simplement la notion de réaliser un bon plan en dépensant moins.

Les entreprises quant à elles voient arriver avec de gros sabots des concurrents et pas des moindres. Ce changement de mode de consommation les pousse donc à devoir également s’adapter à leurs consommateurs, mais aussi à leurs collaborateurs en proposant elles aussi des services similaires. Ainsi, des grandes entreprises proposent à leurs clients la possibilité de consommer collaboratif. Mais les marques, par cette nouvelle tendance souhaitent répondre à un problème qui est tout autre. Les problèmes de liens sociaux et d’optimisation des ressources, poussent les entreprises à utiliser ou à mettre en place de nouveaux outils. Faciliter les échanges entre les collaborateurs, partager et stocker des documents semble primordial.

Et après …

Nous pouvons croire que cela est loin d’être terminé pour l’économie collaborative, au vue de l’ampleur qu’elle a pris en peu de temps. Reste à savoir si les consommateurs seront toujours de la partie et jusqu’à quel point ils accepteront de ne plus avoir ce besoin d’appartenance aux produits.

 

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La personnalisation au coeur de la stratégie marketing

Le marketing personnalisé est devenu la stratégie centrale de certaines entreprises. Faire oublier la notion de standardisation semble être devenue un objectif commun pour les marques. On s’accorde donc à proposer aux clients des produits et des services qui leur correspondent, et qui les rendent uniques. La personnalisation est devenue une tendance qui se développe de plus en plus et même parfois on ne s’en aperçoit pas…

Des entreprises centrées sur leurs clients !

Les entreprises n’ont jamais été aussi proches et intéressées par les consommateurs ! Leurs clients étant de plus en plus informés et exigeants, il est important de savoir répondre parfaitement à son besoin ou sinon, il ira sans état d’âme voir ailleurs. Le marketing personnalisé permet aux marques d’optimiser la satisfaction client, et de le valoriser en lui proposant un bien unique qui lui ressemble.

Pour les marques et les enseignes, mettre en place cette stratégie est plus que nécessaire ! La création d’une relation personnalisée entre le client et la marque permet d’installer un attachement à la marque et de favoriser la fidélisation. Il est bien connu qu’un client satisfait et fidèle sera le meilleur ambassadeur de l’entreprise, et c’est lui qui en parlera le mieux !

Cette tendance permet de donner aux produits une certaine valeur ajoutée. En effet, le client en le co-créant aura moins d’hésitation à l’acheter, même plus cher. Le principe de “co-créer” réconforte les consommateurs dans cette notion d’unicité. Avoir un objet qui lui ressemble, il sera fier de le montrer et d’en vanter les mérites !

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La communication, le levier incontournable !

La personnalisation, en plus de la création des produits, passe par la communication. Pour la réaliser, la communication doit répondre également aux besoins du consommateur pour qui elle est destinée. Commencer le mail par le nom et/ou le prénom du destinataire semble convenir, mais pas seulement. Le contenu qui est rédigé ainsi que les offres proposées doivent être en lien avec les attentes et le profil de l’internaute. Nous ne mettrons pas en avant de la nourriture pour chat à une personne qui a un chien…le mail n’a aucun impact, et le risque de désabonnement est plus que possible.

Parler à chaque consommateur comme s’il était unique, c’est possible : le Big Data est donc l’allié par excellence pour réaliser ce type de marketing. La collecte de données concernant vos clients ne se fera pas en un jour certes, mais cela en vaut pleinement la chandelle. Mais pour cela faut-il encore savoir quelles données stocker et comment les segmenter…

 

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Zoom sur la génération Y

Cette génération née avec le numérique et accro aux nouvelles technologies arrivent en force sur le marché du travail, se retrouvant confrontée à la génération X (baby-boomers). Une chose est sure, les Y font l’effet d’une tornade dans l’entreprise l’obligeant à s’adapter à leur façon de vivre et d’appréhender le monde du travail. Alors, comment réagir face à ces nouveaux collaborateurs ? On vous fait un petit point..

La génération Y en quelques mots

Agée entre 26 et 36 ans, ils sont également appelés les Digitals Native. Cette nouvelle génération a été baignée depuis petite dans l’ultra connecté. Cet engouement pour les nouvelles technologies, ils le pratiquent aussi bien dans leur vie personnelle que sur leur lieu de travail, bousculant avec eux les codes de l’entreprise. Pour certains, ces nouveaux collaborateurs ne sont pas vus d’un très bon œil. En effet, les Digitals Native ont une réputation d’irrespectueux et d’impatients qui peut en refroidir quelques-uns. Cependant, les Millénials (autre terme pour les définir) ont grandi et se sont épanouis dans un monde sans frontière géographique, où tout est disponible instantanément, et également sans tabou. Mais sous leurs airs de “je sais tout”, ils se posent des questions, notamment sur leur carrière et l’entreprise.

Une approche du monde du travail très spécifique

La génération Y semble très attirée par l’entrepreneuriat, en effet les Digitals Native sont désireux de créer leurs propres conditions de travail. Cela peut rapidement se comprendre, ils auraient un rapport complexe avec l’autorité, tutoyant facilement et se permettant des légèretés qui peuvent faire pâlir la génération précédente. Malgré cette impression de détachement permanent, les Y misent sur leur développement personnel et agissent avec réalisme et lucidité pour obtenir les places qu’ils convoitent. Egalement, la vision qu’ils ont de leur carrière professionnelle est différente. Ils ont une approche beaucoup moins carriériste, il voient leur évolution professionnelle comme des étapes dans leur vie, favorisant ainsi leur épanouissement personnel.

Les Millénials ont besoin dans leur travail de se sentir impliqués, et ils souhaitent collaborer en temps réel avec les collaborateurs. Aussi, ils aiment avoir une reconnaissance immédiate et être considérés par le reste de l’équipe. Ils préfèrent donc évoluer dans un climat de confiance.

Un management à la cool ?

Cette nouvelle génération demande une approche managériale un peu différente…il est important de leur véhiculer l’esprit d’échange, partage, collectif au sein de votre entreprise. Il faut également leur permettre de s’y exprimer en leur demandant d’être créatif, et leur donner des défis à relever. Ils auront le sentiment d’être considérés, créant de l’auto satisfaction et de l’épanouissement. Le maître mot de votre management sera F.L.E.X.I.B.I.L.I.T.E !

La génération Y a eu un fort impact dans le milieu du travail en y créant des changements importants. La structure de l’entreprise a dû s’adapter à ses nouveaux collaborateurs et en même temps aux nouvelles technologies. Ainsi, nous pouvons nous demander si ,sans le vouloir ou sans s’en rendre compte, nous ne sommes pas devenus nous aussi des Digitals Native…

 

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